Depuis les années 80, Jean-Yves Brélivet développe un univers sculptural où l’animal occupe une place centrale. Son bestiaire, intitulé Le tango des espèces, semble tout droit sorti d’un conte de La Fontaine, mêlant humour et finesse d’observation. Ses sculptures colorées, aux postures expressives, rappellent l’imagerie des livres d’enfants et le réalisme troublant des musées de cire. Derrière leur apparente légèreté, elles offrent un regard acéré sur l’humain, transformant l’animal en miroir de notre propre condition.
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